Une semaine dans le PAF #1

Le chien

Vidéodrome

Par un phénomène que ni le CSA ni les plus illustres spécialistes des médias n'ont encore parvenu à expliquer, les émissions consacrées au cinéma à la télévision française ont disparu à mesure que les grandes chaînes s'impliquaient dans la production cinématographique.

Darren Aronofsky

En attendant The Wrestler...

Darren Aronofsky

Faiseur d’images pour les uns, génie pour les autres, Darren Aronofsky ne cesse de diviser depuis ses débuts, y compris au sein de la rédaction de L’ouvreuse.

Top 2008

Musée du haut

Top 10

Une année de cinéma condensée en dix petites lignes, c'est le miracle des tops. Complètement futiles et partiaux (qui a vu les 500 films sortis en 2008 dans nos salles ?), les tops restent toutefois un bon moyen de résumer les horizons cinéphiles des rédactions, et surtout de se moquer en les ressortant quinze ans plus tard.

La maturité est-elle soluble dans le genre ?

L'adulte ère

Le chambara

À l'heure où les termes "dark", "mature" et "adulte" semblent pouvoir légitimer n'importe quels films (notamment de super-héros), comblant pour l'occasion aussi bien un public qu'une critique fière de l'évolution, il est intéressant de faire le parallèle avec un genre d'une autre époque ayant produit des films adultes complets : le chambara - le film de sabre japonais.

Gérardmer 2009

Parce qu'on le Vosges bien

Affiche Gérardmer 2009

Du vin chaud, du latex, John Landis, la brasserie du Grizzli, des spectateurs esthètes applaudissant un meurtre à la hache : pas de doute, nous sommes à Gérardmer.

Flop 2008

Musée du bas

Flop 10

Attention, ici ça sent la vase. Après les orfèvres de 2008, voilà la galerie des monstres du septième art, ceux qui font mal à l'œil et parfois ailleurs. Entre coups de gueule, déceptions et lassitude, il doit bien y avoir des films qui méritent vraiment d'être là (comment ça, tous ?).

Le cinéma d'horreur français

Qu'un sang impur...

Martyrs

Alors que se profile à l’horizon la 16ème édition du festival de Gérardmer Fantastic’Arts 2009, avec dans sa besace une pelleté de films de "genre" plus ou moins attendus et susceptibles d’être présents (Lady Blood, Mutants, Ricky, Humains), L’ouvreuse se penche sur l’existence a priori inconciliable d’un cinéma d’auteur et d’horreur français. Attention le combat risque d’être sanglant !

Informations supplémentaires