Critiques
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- par Nicolas Zugasti
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Comme un aimant
Après s'être adonné à un cinéma plus apaisé (tout est relatif, on parle de Michael Bay) avec Pain And Gain et 13 Hours, véritables respirations entre deux opus crétinoïdes de Transformers, 6 Underground semble avoir sonné la fin de la récré !
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- par Guénaël Eveno
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Vers l'inconnu... et au-delà !
Lorsque John Lasseter et Andrew Stanton optèrent pour le point de vue de l'enfant sur ses jouets pour inaugurer les exploits digitaux de Pixar, ils exprimaient déjà une certaine sagacité sur les spécificités de ce nouveau type d’animation.
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- par Nicolas Zugasti
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Plus dure est la chute
Globalement, la franchise Mission: Impossible restait synonyme de spectacle à valeur narrative ajoutée. En se reposant principalement sur ses morceaux de bravoure, ce Fallout n'est qu'une émulation intéressante du 2ème opus signé John Woo.
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- par Nicolas Zugasti
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Le monde perdu
Après Les Aventures De Tintin et Le Bon Gros Géant, le dernier long-métrage de Steven Spielberg est une nouvelle incursion dans le cinéma virtuel, aussi techniquement virtuose que complémentaire à son approche des images et des rêves.
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- par Guénaël Eveno
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Les ailes du délire
Sur un tournage chaotique, un publicitaire renommé est confronté à un fantôme de son passé : un film d'étudiant tourné dix ans auparavant mettant en scène un vieux cordonnier local dans le rôle de Don Quichotte.
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- par Nicolas Zugasti
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L’amour aquatique
Récompensé par plusieurs prix (notamment à la Mostra de Venise et aux Oscars), La Forme De L’Eau est de loin le plus accessible des films de Guillermo del Toro. Ce qu’il perd en symbolisme et complexité narrative est compensé par touchante mise à nue artistique.
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- par Nicolas Zugasti
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Publie-moi si tu peux
Pentagon Papers (The Post en VO), ce sont des journalistes autour d'un bureau, discutant, débattant, examinant avec perplexité des documents (lesdits papers), programme anti-spectaculaire que Spielberg parvient pourtant à transcender.
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- par Nicolas Zugasti
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Clash investigation
La dimension politique de la filmographie de Kathryn Bigelow ne cesse de s’intensifier depuis Démineurs et atteint un nouveau jalon avec Detroit. Mais une fois de plus la cinéaste défraie la chronique davantage pour des polémiques absurdes que pour son talent.
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- par Guillaume Meral
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Quantum of salace
Réduire le cinéma de Matthew Vaughn à du fun périssable dont l’impact n’excède pas la blagounette s'avère assez injuste envers un réalisateur qui s’est toujours levé contre la neutralisation dramatique de l’image par le label du cool.