Critiques
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- par Guillaume Meral
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Hollow woman
Le drame bourgeois à la française est-il propice à la subversion ? Non pas que le genre - car il s’agit d’un genre, avec ses codes et figures récurrentes - n’ait permis à certains auteurs d’y poser leur empreinte (Chabrol pour le plus évident, Despleschin pour le plus virtuose).
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- par Nicolas Zugasti
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Cogné et lassé
Finalement, le seul film du Marvel Cinematic Universe qui mérite d'être porté aux nues reste Iron Man 3. Non pas pour sa qualité discutable mais bien parce que son succès aura permis le retour au premier plan de Shane Black.
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- par Guillaume Meral
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De guerre lasse
Le film de super-héros est mort. Les films avec des super-héros en revanche se portent très bien. Ce n'est pas les quelques dos d'ânes sur la route de la soie (légères sous-performances de Ant-Man et Avengers 2) qui feront trembler une industrie à la planification verrouillée, condition de sa pérennité.
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- par Guénaël Eveno
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Anarchitecture
En 1975, J.G. Ballard décrivait dans son roman High Rise (1) le glissement vers la barbarie des occupants d'un immeuble de grande hauteur. Egalement coupable de Crash! (adapté par Cronenberg en 1996), Ballard a durablement influencé une génération d'anglais ayant grandi dans les années 70 et 80.
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- par Guénaël Eveno
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Le grand saut
Pour son quatrième long-métrage Midnight Special, Jeff Nichols délaisse les langueurs et les non-dits du sud sauvage pour un voyage libérateur vers la SF de son enfance.
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- par Guillaume Meral
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Fashion weak
Le verdict est tombé et semble faire l'unanimité chez les détracteurs comme chez les défenseurs du premier : Zoolander 2 est bien le foirage annoncé par son four US et le lynchage critique qui l'accompagna.
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- par Nicolas Zugasti
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Profession de foi
Comme la plupart des films des frères Coen, Ave, César ! se savoure à plusieurs niveaux car sous ses allures d'aimable comédie, leur dernier effort propose une réflexion passionnante sur les croyances, tel un point d'orgue à leurs trois précédentes œuvres.
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- par Nicolas Bonci
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Brève rencontre
Derrière cette affiche surchargée en injonctions à la dithyrambe se cache le nouveau film de Charlie Kaufman, qui s'est trouvé pour l'occasion une nouvelle famille de doux zinzins.
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- par Nicolas Zugasti
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L'auberge des dragons
Contrairement à Django Unchained, le fun et la rectification fantasmatique de l'Histoire ne sont pas de mise dans le huitième film de Tarantino et son second western de rang. Ici, on assiste à un outrancier théâtre de la cruauté.