Le vestiaire de L'ouvreuse
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Critique
par Nicolas Bonci
le 20 juillet 2007
Piège de minables
Quiconque a survécu au visionnage du medley gothique Underworld ne pouvait que craindre le pire à l'annonce d'un Die Hard confié à Len Wiseman. Archétype du cinéaste populaire nouvelle génération, à savoir grand geek auto-proclamé avalant culture pop depuis sa tendre jeunesse, s'intéressant à tout, fan de la première heure, blablablabla, Wiseman refourgue ses "références" au public tel un oiseau la becquée à ses petits : déchiquetées et régurgitées.
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Critique
par Nicolas Bonci
le 13 juillet 2007
Franc maçon
Nous aimons les étiquettes. Il est nécessaire que tout soit classé, rangé, on veut savoir précisément à quelles catégories appartiennent les biens que l'on consomme. Ce qui n'est pas très étonnant quand le label a plus d'importance que l'objet labellisé lui-même.
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Critique
par Nicolas Bonci
le 16 juillet 2007
La guerre à deux ans
Un jeune fermier visiblement un peu simple d'esprit marche dans ses champs du nord de la France. Il s'arrête. Il marche. Il voit un ami. Ils discutent. Puis le jeune fermier marche de nouveau.
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par Nicolas Marceau
le 16 août 2007
Dawn of the Z
Mine de rien, la sortie en deux temps du projet Grindhouse dans nos contrées aura permis de mesurer à quel point Quentin Tarantino et Robert Rodriguez ne jouent clairement pas dans la même cour. Alors que le premier évolue depuis ses débuts dans celle des authentiques cinéastes de génie, le second demeure un éternel bidouilleur plus ou moins inspiré en fonction des concepts qui lui passent sous la main.
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Critique
par Nicolas Bonci
le 17 juillet 2007
Cartonman et les filles
"Que vaut le nouveau Gondry ? ". La question rongeait les lèvres des aficionados du père Michel, anxieux à l'idée d'un premier long-métrage sans l'apport du génialement perturbé Charlie Kaufman au scénario.
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Critique
par Nicolas Bonci
le 18 juillet 2007
Little missed Sunshine
Depuis le désastre de La Plage , il semblerait que Danny Boyle ait compris que courir après le très désiré statut "d'auteur culte de toute une génération" est aussi vain qu'étouffant, et se permet ainsi de se lâcher dans des genres que la hype réprouve. Après le zombiesque 28 Jours Plus Tard (dont la suite 28 Semaines Plus Tard sort le 19 septembre prochain), Boyle nous présente son trip de hard SF Sunshine , qui, comme le sujet pouvait le supposer, revisite le mythe d'Icare (les vaisseaux se nomment Icarus I et Icarus II, au cas où...).
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