Kung Fu Panda

La rage du panda

Affiche Kung Fu Panda

Après le wu xia pian pour occidentaux (Tigre Et Dragon), le wu xia pian pour festivals (Hero et Le Secret Des Poignards Volants), voici le wu xia pian pour gosses ! Si le Ang Lee est une réussite, Kung-Fu Panda de Mark Osborne et John Stevenson enfonce sans problèmes les films mou du genou de Zimou !

Speed Racer

Lucy in the sky with drivers

Affiche Speed Racer

Quelque part, la réception des séquelles de Matrix illustrait ce qu'avançait Deleuze dans L'Image-Mouvement : "Nous voyons très peu de choses dans une image car nous savons mal la lire, nous en évaluons aussi mal la raréfaction que la saturation".

La Zona

La cité de la peur

Affiche La Zona

Suivant l’adage, pour vivre heureux il faut vivre caché. Un concept que le film de Rodrigo Pla, La Zona pousse très loin puisqu’il émet l’hypothèse d’un enfermement constitutif de bonheur. Pas sûr pourtant que le film plaise aux tenants d’une politique ultra-sécuritaire.

JCVD

Larme absolue

Affiche JCVD

Ils sont rares ces films qui provoquent un sentiment unanime auprès de la presse et du public, et si JCVD en fait parti, ce n’est pas forcément pour ses qualités et défauts mais pour l’humanité qui en déborde pour peu que l’on ne soit pas allergique au prince belge.

Française + Sagan

Téléfilms qui croyaient prendre

Affiche Sagan

Actuellement la mode consiste à priver les films de cinéma de sorties correctes dans les salles de cinéma : par de misérables exploitations techniques sur quelques écrans, de direct-to-video injustifiés ou en invoquant la sauvegarde des bonnes mœurs. Parallèlement, des bouts de pellicule shootés à la vaille que vaille se voient régulièrement qualifiés d'objets cinématographiques et propulsés sur grand écran.

Semi-Pro

La main au panier

Affiche Semi-Pro

On en était venu à se demander ce qui pouvait susciter chez les distributeurs un tel rejet des films où Will Ferrell faisait le guignol. Comique reconnu et adulé dans son pays, l'acteur est ici un parfait anonyme et pâtit régulièrement des sorties techniques inexplicablement répétées pour chacune de ses apparitions.

I Know Who Killed Me

"C’est John Wilson !" - Chris Siverston, réalisateur

Affiche I Know Who Killed Me

Dans la vie tout est relatif. Impossible de préjuger de la qualité d’un film à son nombre d’entrées (Astérix 3 ou Bienvenue Chez Les Ch’tis). Il en va de même des vilains petits canards se payant une réputation peu flatteuse et relayée par des critiques souvent peu inspirées. Voire carrément aveuglées.

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