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Critique
par Krys64
le 15 avril 2008
Bioroids et autres méchas

Je vais vous faire un aveu, les mangas de Masamune Shirow m'ont toujours gonflé. Pour être vraiment franc, cela est venu crescendo au fil de la lecture des séries Appleseed et Ghost In The Shell, le sentiment d'être exclu de l'univers de l'auteur au fur et à mesure de l'évolution de son style.
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Critique
par Nicolas Bonci
le 2 avril 2008
Le train frères

Oui j'assume complètement le mot foireux qui ouvre le présent article. S'assumer est d'ailleurs la marotte thématique de Wes Anderson, pour qui le cinéma n'est qu'un immense jouet permettant de jauger la part d'enfance restant en chaque adulte.
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Critique
par Nicolas Bonci
le 25 mars 2008
La chambre des fils

Deux films, l'un "d'auteur" comme on dit, l'autre "de genre", illustrant malgré eux qu'au-delà des intentions et du traitement propre à un cadre, le cinéma a avant tout besoin d'une chose : un propos.
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Critique
par Nicolas Zugasti
le 14 avril 2008
Escape from Glasgow

Comment parvenir à amalgamer des méga-hits des années 80 à des succès plus récents sans tomber dans la déférence stérile et l’hommage vain ? Un vrai travail de funambule dont Neil Marshall s’acquitte avec talent et enthousiasme.
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Critique
par Castor destroy
le 1 avril 2008
L'ère de rien

2008 AD. Le dernier mammouth de Roland Emmerich est lâché, difficile de faire autrement que le descendre. Car pour un film sur la préhistoire avec aux manettes Monsieur (film-)Catastrophe, on était en droit d’attendre mieux que cette bouse fossilisée qui manque cruellement de fun.
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Critique
par Nicolas Zugasti
le 19 mars 2008
L'horreur est humaine

Encore une adaptation de King ? Z’en n'ont pas marre de nous vendre de la soupe sur le nom prestigieux de ce romancier à succès (euphémisme !). A croire qu’avec les remakes, il n’y a que ça pour faire venir les gens dans les salles !
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Critique
par l'ouvreuse
le 13 avril 2008
Remake, elle est où la caisse ?

Devant la recrudescence de remakes idiots, vains et opportunistes des bandes fantastiques ayant au moins, pfiou, ving ans (sans couleur, sans son, éclairées au silex), ou venant de la planète Asie (donc incompréhensibles car "ils se ressemblent tous lol"), L'ouvreuse marquera désormais tous films passés à la machine du commercialement correct pour moutons contents. C'est donc à The Eye de Moreau et Palud que revient l'honneur d'inaugurer notre :
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Critique
par Nicolas Zugasti
le 26 mars 2008
The Besson supremacy

La méthode Besson (un peu comme celle de Cauet) a ceci de particulier qu’elle amalgame les clichés les plus putassiers et une narration bas du front aux plus gros succès du moment. C’est un peu notre Menahem Golan (la mythique et défunte Cannon) ou Avi Lerner (Nu Image/Millenium) à nous.
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Critique
par Nicolas Zugasti
le 12 mars 2008
Prendre un enfant par la main...

Je vous rassure tout de suite, avec L'Orphelinat, on navigue très loin d'Yves Duteil. Grand prix au dernier festival de Géradmer, pluie de Goyas (équivalents espagnols de nos incomparables Césars), critiques sous le charme, succès public dans son pays : vous l'aurez compris, le film de Juan Antonio Bayona fait l'unanimité.
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