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Critique
par Nicolas Zugasti
le 10 novembre 2008
Un minimum de consolation
Ou lot de consolation. Ainsi pourrait on traduire le titre du 22ème James Bond. Et effectivement, la passionnante poursuite de la redéfinition du personnage est un minimum pour nous consoler d’une débauche d’action pyrotechnique absolument illisible.<
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Critique
par Nicolas Bonci
le 21 octobre 2008
Monsieur Cé
Comme des moutons, nous traitons à notre tour le "film événement" de cet automne, car comme des gros porcs, on ne dit jamais non à un peu de référencement facile dans les moteurs de recherche.
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Critique
par Nicolas Zugasti
le 8 octobre 2008
Voyage au bout de la folie
En thaïlandais, Vinyan signifie "fantôme". Pourtant pas l’ombre d’un fantôme asiatique traditionnel représenté par une petite fille aux cheveux longs et sales. Mais un éblouissant et intense moment de cinéma.
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Critique
par Sébastien Le Gallo
le 7 novembre 2008
Leçons culturelles sur l’Amérique au profit glorieuse nation France
A vrai dire, depuis l'arrêt du mythique Opération Frisson, J'Irai Dormir Chez Vous est tout simplement la dernière émission de télé susceptible de me pousser à allumer ma télé.
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Critique
par Nicolas Marceau
le 16 octobre 2008
Abats
C’est l’histoire de deux nénettes qui, en écoutant le best of d’ABBA, ont décidé d’en tirer un spectacle musical.
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Critique
par Nicolas Marceau
le 6 octobre 2008
Heat me
Il y a deux remarques qui reviennent systématiquement quand on observe la réaction des spectateurs à la sortie de The Dark Knight. La première concerne Heath Ledger et à quel point "il joue vachement bien quand même hein !" La seconde a trait à la mise en scène de Christopher Nolan qui est souvent comparée à celle de Michael Mann.
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Critique
par Sébastien Le Gallo
le 22 octobre 2008
Casualties of idiocy
En 1995, Ben Stiller réalisait Génération 90, l'histoire d'une jeune fille hésitant entre deux de ses prétendants, un rebelle anti-matérialiste et un yuppie de la télé.
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Critique
par Nicolas Zugasti
le 15 octobre 2008
La cité sans dieu
Blindness est un film de genre au même titre que Martyrs et Vinyan. Blindness bénéficie lui aussi d’une maîtrise formelle au service de sa narration. Pourtant Blindness n’a fait la couverture d’aucune revue. Ben alors ?
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Critique
par Nicolas Zugasti
le 2 octobre 2008
...and pas furious
Enième tentative de ranimer un cinéma de genre bien d’cheuh nous, Go Fast, malgré son sujet original (c’est déjà ça) et sa colombienne à tomber à la renverse (l’actrice Catalina Denis, bande de toxicos) ne peut éviter la sortie de route.
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