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Critique
par Nicolas Zugasti
le 10 mai 2010
En acier détrempé
Les nouvelles aventures de tête de fer débutent par la présentation du bad guy (Mickey Rourke) au faciès boursouflé et quasiment inexpressif à la bouche ornée de chicots métalliques. Soit une parfaite représentation du film qui va suivre.
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Critique
par Nicolas Zugasti
le 16 avril 2010
Au pays de Candide
Thriller politique d’action, Green Zone, s’il est moins trépidant que l’excellent La Vengeance Dans La Peau, demeure captivant malgré la mise en scène de faits connus, et se montre passionnant dans la reprise et le développement des motifs parcourant l’œuvre de Paul Greengrass depuis Bloody Sunday.
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Critique
par Nicolas Zugasti
le 9 avril 2010
Le côté obscur de la farce
Sous leurs airs de comédies loufoques aimablement grinçantes, Les Chèvres Du Pentagone et l’inédit War, Inc. proposent une vision décapante de l’armée et des méthodes utilisées pour accroître le temps de cerveau disponible à la logique de marché.
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Critique
par Nicolas Zugasti
le 30 avril 2010
Superbad-ass
Quand des adulescents échappés de l’apatow-verse se mettent en tête d’assouvir leurs désirs lubriques et ludiques, cela donne rien de moins qu’un des meilleurs film de héros costumés, détournant avec bonheur le Spider-Man de Raimi pour enterrer sans mal le Watchmen de Snyder en termes de maturité et de cinégénie.
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Critique
par Nicolas Bonci
le 14 avril 2010
Vikings of the world
Les p'tits gars du ch'nord sont à l'honneur dans les salles à travers deux films bien éloignés de la Epinal-way que Fleisher avait donnée en 58, chacun à leur manière bénéficiant des deux œuvres régénératrices que furent Le 13ème Guerrier et La Légende De Beowulf.
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Critique
par Nicolas Marceau
le 5 avril 2010
De l'autre côté du mouroir
Existe-t-il plus beau symbole de l’assimilation de Tim Burton au système Hollywoodien que ce Alice Au Pays Des Merveilles ? Peut-il y avoir plus beau témoignage du manque total d’inspiration du réalisateur que cette adaptation de Lewis Carroll vendue exclusivement sur le nom de Johnny Depp ?
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Critique
par Nicolas Zugasti
le 23 avril 2010
Caprice des dieux
Les caractéristiques définissant le célèbre fromage industriel à l’emballage en forme de calisson bleu orné de petits anges correspondent parfaitement au dernier film de Louis Leterrier : une croûte blanche à pâte molle et au goût insipide.
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Critique
par Reda
le 12 avril 2010
L'ecstasy et l'agonie
Après son ophulsien Le Plaisir (Et Ses Petits Tracas), Nicolas Boukhrief avait juré qu'on ne l'y reprendrait plus : il allait désormais faire du cinéma viscéral (c'est à dire non intellectualisé et non théorisé) et tourné avant tout vers et pour le public.
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Critique
par Nicolas Zugasti
le 26 mars 2010
Juste cause
"Le genre de film qu'il est difficile de critiquer, tant il a le mérite d'exister." Excessif.com.
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