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Critique
par Nicolas Bonci
le 4 décembre 2009
Dumont Lajoie
Lorsque Flandres sortit, le profane avide de connaissances qui s'ébat au fond du lac acide de mes entrailles me fit comprendre que je ne connaîtrai le repos gastrique seulement lorsque cette faim interrogatrice envers le Grand Prix de Cannes 2006 serait contentée. Résigné, je cherchai des réponses.
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Critique
par Nicolas Zugasti
le 26 novembre 2009
Mes voisins les pandas
Une bonne grosse boule de poil joviale amie et protectrice des enfants tisse des liens puissants avec une fillette de dix ans autonome et dégourdie : ça vous rappelle quelque chose ?
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Critique
par Nicolas Bonci
le 16 novembre 2009
Demolition man
Ça aura mis le temps, mais devant les machines à café du secteur tertiaire les spectateurs du samedi soir s'accordent enfin à considérer Roland Emmerich comme un faiseur de bouses, mais de bonnes bouses, de celles qui dégagent les bronches et font pousser les patates sans incommoder nos sens (n'est-ce pas).
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Critique
par Nicolas Zugasti
le 3 décembre 2009
Barbouzeland
Qu’attendre d’un réalisateur de retour d’un exil peu convaincant outre-atlantique, des scénaristes de son premier film, Maléfique, qui se sont entre temps aguerris sur les synopsis de Astérix Aux Jeux Olympiques et Bienvenue Chez Les Ch’tis, d’une première séquence dévoilant l’explosion d’un avion dans une gerbe d’effets spéciaux approximatifs…?
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Critique
par Guénaël Eveno
le 20 novembre 2009
Terry’s (imagi)nation
Terry Gilliam a trouvé son Graal dans l’imagination et a décidé de ne pas le lâcher, proposant tel un gamin capricieux à un monde de plus en plus terre-à -terre le récit d'un faiseur d'imaginaire.
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Critique
par Nicolas Zugasti
le 13 novembre 2009
Chaud Cao Cao
Les valeurs sûres ont la peau dure ! Grande année pour les maîtres que l’on croyaient vieillissant, après Eastwood et Miyazaki voilà que Woo se rappelle à notre bon souvenir. Et après Cameron en fin d’année, ne manqueront plus que Big John et McT en 2010 pour que la fête soit complète.
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Critique
par Nicolas Zugasti
le 27 novembre 2009
King of melancoly
"Et toi, tu n’en pas assez de parler toujours de ta bite ?" Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ceci n’est pas adressé à Michael Bay mais au personnage de Seth Rogen, Ira Wright, dans le dernier film de Judd Apatow. Une phrase qui semble illustrer l’état d’esprit ayant présidé à l’écriture de cette totale introspection qu’est Funny People.
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Critique
par Nicolas Marceau
le 19 novembre 2009
Buzzer avec la mort
Au détour d’une brève séquence de The Box, le cinéaste Richard Kelly ne peut s’empêcher de convoquer le souvenir d’un des meilleurs moment de Southland Tales, quand la Rebecca Del Rio de Mullolland Drive venait entonner l’hymne national américain.
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Critique
par Michael
le 9 novembre 2009
The box
L'après Casshern dans un Japon médiéval ultra stylisé : dans une industrie japonaise dominée par des produits formatés avec midinettes en mode voix aigu super kawaii, des loufoqueries interminables et quelques indépendants contemplant l'état de leur monde, le réalisateur Kazuaki Kiriya fait partie des rares à oser proposer du spectacle ambitieux.
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