Démineurs

Danse avec la mort

Affiche Démineurs

"War is a drug". Il n’y’a pas besoin de plus de trois mots pour résumer le shot d’adrénaline qui annonce le grand retour de Kathryn Bigelow dans nos salles au terme de plusieurs années de sevrage forcé. Attention, Démineurs provoque une nouvelle accoutumance.

GI Joe, Le Réveil Du Cobra

Joe Bar Team

Affiche GI Joe, Le Réveil Du Cobra

Si Sommers est moins concerné que Bay par l’excitation de l’appendice turgescent et rosâtre situé dans le caleçon, il reste tout aussi incapable de titiller celui situé dans le crâne. Pas vraiment une surprise mais en tant que cérébral, j’ai toujours du mal à jouir si mon intellect n’est pas mis en branle...

Les Derniers Jours Du Monde

2,012

Affiche Les Derniers Jours Du Monde

C'est confirmé : l'épidémie des années 80 prend de l'ampleur. La preuve, le post et pré-apo reviennent à la mode. Avant le définitif 2012 de Roland "cette fois-ci je vous mets tout" Emmerich, The Road de John Hillcoat et The Book Of Eli des frères Hughes, c'est la fratrie des Larrieu qui ouvre le bal avec Mathieu Amalric en Omega Man.

Non Ma Fille, Tu N'Iras Pas Danser

Le bal des factices

Affiche Non Ma Fille, Tu N'Iras Pas Danser

Parmi la palanquée de cinéastes nationaux pointés du doigt dès qu'il faut s'indigner contre l'obsolescence d'un cinéma d'auteur dramatico-snobino-chiant (vite fait car l'armée des cinéphiles ouverts et tolérants sonne promptement la charge pour rappeler aux dissidents toute l'aigreur qu'anime obligatoirement leur prose) se trouve Christophe Honoré, et il faut dire que le pauvre l'a un peu cherché.

The Fall

Tarsem et récolte

Affiche The Fall

Quand les loustics David Fincher et Spike Jonze prêtent leur célèbre patronyme pour aider le second métrage de Tarsem, leur pote de Propaganda Films - la boîte qui offrit parmi les plus beaux clips des années 80 et 90, on stoppe tout, et on se précipite en salle.

Public Enemies

Carabine fever

Affiche Public Enemies

Okay, vous êtes bien gentils à vous enflammer sur quinze pauvres minutes du film de Cameron mais en tant que réalisateur sachant soumettre une avancée technique au profit de son cinéma et sa manière de raconter une histoire, faudrait peut-être pas oublier Michael Mann et sa caméra HD !

Partir

C'est subir un peu

Affiche Partir

"Il suffit d'ouvrir les yeux pour se rendre compte combien le cinéma d'auteur académique constitue le pendant naturel du cinéma industriel, moins son antidote ou son refus que son négatif parfait, son double inversé."

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