Die Hard 4 - L'analyse
Vivre libre ou mourir dur
S'il est un film incompris par la critique cinématographique, c'est bien Die Hard 4, car d'un côté le film est définit comme un très bon actioner et de l'autre comme une méga bousasse bourrée de failles scénaristiques. On pourrait croire à la vision de celui-ci qu'il s'agit d'une production markétée pour les djeunz à grand coup de nouvelles technologies et de violence consensuelle (no blood, no fuck) mais, cher lecteur se demandant où je veux en venir, il en est tout autrement !
Car Die Hard 4 est bel bien un film entièrement pensé pour la communauté geek pour les raisons suivantes : par définition le geek est un passionné de mondes imaginaires et lorsque celui-ci découvre une création qui lui parle (comme Die Hard 1), il a tendance à se l'approprier quitte à en devenir le gardien, voire un spécialiste, de l'oeuvre en question ; bref nous appellerons ça un Fanboy.
Une des principales passions du Fanboy est l'analyse de bandes annonces de films à partir desquelles il montre sa capacité à prédire l'intrigue scénaristique, les rebondissements voire même le twist final. C'est qu'il est fort le Fanboy, il voit tout, il sait tout. C'est donc à cette sous-catégorie geek que le réalisateur Len Wiseman s'adresse à travers son film, au nez et à la barbe de ses producteurs ! Et pour cela, il invente carrément un nouveau genre de film cinématographique, un genre qui lui donnera sa place de visionnaire au Panthéon des geeks précurseurs, un genre qui fera date : le premier film "jeu des 7 erreurs" (first 7 errors movie) !!!
Bien entendu, Len Wiseman explose ce nombre 7, carcan numérique qui ne peut contenir toute sa folie créatrice. C'est ainsi qu'à la vision de Die Hard 4, le coeur du Fanboy se gonfle de joie devant ce défi filmique, voire interactif, car Die Hard 4 est le film qu'il n'attendait plus.
Etant par nature un gros geek qui cherche toujours la petite bête pour se la péter devant ses potes (du genre à signaler que dans Matrix 1 on voit l'objectif de la caméra dans le reflet de la poignée de porte de l'appartement de l'Oracle lorsque Neo et Morpheus vont l'ouvrir, si si , regardez bien), l'article qui suit est une analyse qui a pour but de recenser TOUTES les erreurs (intentionnelles bien sûr) du film Die Hard 4, qu'elles soient techniques, scénaristiques ou visuelles. Et je pourrai une fois cela accompli hurler à la face du monde : "Mouhahahaaaa ! Hey Len , next film please, Mother fuBlaaaaaam!!!".
- L'analogique c'est pas du numérique
Au tout début du fil, un hacker très content annonce à son pote qu'il a gagné 50 000 $, et en se pointant devant son ordi son écran subit une perturbation fréquentielle, un parasitage d'autant plus stupide que le hacker demande à son pote ce qu'il a fait à son disque dur. Vous allez me dire que je suis tatillon mais je pense que si l'ordi avait subit une perturbation, elle aurait plutôt été sous forme de carrés voire de freeze au lieu de ressembler à un tuner TV mal réglé.
- Delete Kaboom
Suite à cela, notre hacker, voulant sûrement rebooter son ordi, appuie sur la touche "delete", qui correspond à notre "suppr" national, ce qui a la conséquence de déclencher une bombe dans l'ordi. Alors faut qu'on m'explique quel est ce système d'exploitation car j'ai beau appuyer comme un malade sur cette touche explosive, rien ne se produit, enfin si, j'ai effacé la suite de ce texte mais malheureusement pour vous je maîtrise comme un malade le "ctrl-z", Ha ! Ha !
- Je pwne le FBI
Le FBI subit un hack, mais big chef a une super idée, il demande de sortir la liste noire des hackers du pays. Et là , c'est trop fort, on apprend comme ça tranquille que les gars ont la liste de tous les pirates du pays. Ha ben zut, si on les avait arrêtés avant il n'y aurait pas eu de hack, mais il n'y aurait pas eu de film non plus ! Causalité, comme dirait Lambert Wilson.
- Le leetspeak c'est chic
Bon les enfants, ce film s'adresse à vous, et pour ça Matthew Farrell est votre personnage référent, vous allez voir il est comme vous, il boit de l'energy drink en écoutant des groupes gothiques tout en hackant en leetspeak. Bon c'est sûr que pour passer anonyme sur le web, rien de tel qu'un pseudo qui pète genre H4xX0r666 ou K1ng0fW4r3ZZZZ. Mais Farrell c'est un bon, lui il a choisit F4RR3LL. Sa tactique et simple et relève de la psychologie inversée : personne n'irait se douter que derrière ce pseudo de la mort se cache son vrai nom et j'imagine déjà le FBI en train de se taper un brainstorming pour trouver la signification cachée de ce "F4RR3LL". Par contre, son collègue le "sorcier" est un pur n00b : lui son pseudo c'est WAR10CK.
- Paye ton IP
Sur ce, Farell est dans le collimateur des terroristes, qui lui balancent un virus dans son ordi plein de firewalls troués, et pour cela ils ont son IP qui est 172.16.55.103. Le spectateur lambda se serait dit que ma foi cette série de chiffres avait l'air fort crédible mais un examen attentif nous apprend que cette IP correspond à un serveur se situant du côté de Santa Monica (Marina Del Rey précisément) en Californie (vous voyez les States ? Ben c'est à gauche). Mais surprise, le film se déroule à New York (en résumé : à droite des States) et au premier qui me dit qu'en fait il passe par un proxy, je lui réponds que les terros envoient le virus direct sur son IP, comme on le verra par la suite.
- Le plexi c'est fantastique
Comme tout nerd qui se respecte, Farrell vit en symbiose avec son ordi (si vous connaissez des développeurs vous voyez de quoi je parle), mais quand son ordi aux parois de plexiglas (transparentes donc, hein ? Vous suivez là !) est rempli de blocs de C4 marqués en fontes de caractères Impact taille 74 "C4", il ne le remarque pas.
- L'intervention du hasard ou le Deus Ex Machina réinventé
Attention ! Concept dans le concept, la mise en abyme ultime ! Le Deus Ex Machina est une technique théâtrale qui consiste à faire apparaître à la fin d'une pièce un intervenant incongru qui résout toute l'intrigue. Et bien accrochez-vous bien car Wiseman renouvelle cette technique (que dis-je, l'atomise !) en l'appliquant tout au long du film !! Ainsi, il invente le multi-Deus Ex Machnina de la manière suivante : dès qu'il y a un problème dans l'histoire, le hasard fait son intervention. Premier exemple lors de l'attaque de l'appartement de Farrell par les terros : McClane tire dans tous les sens et, miracle, tout ce tohu-bohu fait basculer une figurine de Terminator d'une étagère sur le clavier de l'ordi, en plein sur la touche explosive "Del" (vu plus haut). JC soit loué ! Conséquence : Big Badaboom et mort des terros.
- Die Hard Drive
McClane et Farrell s'échappent en voiture. Retour dans la salle du FBI dans laquelle on constate que sept hackers de la liste noire sont morts. Big Chef a une idée, il demande de passer leurs disques durs au peigne fin afin de trouver des infos, mais le spectateur attentif remarquera que les hackers meurent à cause de leurs ordis explosifs. Cela serait mettre en doute les compétences du FBI, car si Big Chef parle de disques durs c'est qu'ils ont bien survécu aux explosions (c'est marqué dans le rapport de l'agent Kallagan). Non ! L'explication est toute autre. Par nature très prudent, le nerd sait que le disque dur est la pièce maîtresse de son ordi, le reste peut cramer il s'en fout. Il achète donc exclusivement des disques durs en titane de Kryptonite quasiment indestructible et pouvant supporter l'explosion d'une supernova, avec ça son portefeuille est vide mais le nerd garde l'esprit tranquille pour coder du Flex ou autre Ruby on Rails.
- L'agent Johnson
C'est la panique, les terros ont tout piraté, le FBI, la Bourse, les feux de croisement, tout marche en réseau aux States... Après un bref topo, McClane doit protéger Farrell pour un interrogatoire et c'est l'agent spécial Johnson qui doit les escorter, McClane émet un risctus en entendant son nom, se remémorant peut-être les agents Johnson de Die Hard 1. Mais le gros soucis est que ce clin d'oeil tombe, pour un oeil expert comme le mien, complètement à plat, car dans Die Hard 1, McClane n'a jamais aucun contact avec les deux agents. Bien tenté, Len !
- Code 5-4-27, code inconnu
Pendant l'escorte en voiture, les terroristes, ayant repéré nos amis, prennent le contrôle de la radio et leur font suivre un trajet piégé. Mais la voix de l'interlocutrice radiodiffusée interpelle Farrell, doué lui d'une excellente mémoire sélective. McClane piège la terro en lui demandant si la journée n'a pas été trop dure avec tous ces 5-4-27, code policier américain attribué à des gens se baladant tout nus, mais que la terro ne semble pas connaître, et pour cause ! Le vrai code policier pour ce type d'infraction est le 10-106, généralement attribué aux obscénités ! Donc, McClane est un gros flic en bois roulant des mécaniques, mais qui ferait mieux de réviser aux cours du soir de l'école de police !
- The flying cars
Je l'ai toujours dit, un film avec des voitures qui volent ne peut pas être foncièrement mauvais. Poursuivis en voiture par un hélico, nos héros se réfugient dans un tunnel avec plein de voitures partout. McClane et Farrell sont à pied, à cause de ce con de Farrell qui fait rien qu'à pas rester en place. Du coup, plein d'accidents d'autos, et au moment où une voiture virevolte pour écrabouiller les deux piétons, le Deus Ex Machina intervient par l'intermédiaire de deux autres voitures qui déboulent et sauvent nos héros. Ouf !
- Les balles à têtes chercheuses
McClane est énervé et pour se calmer il faut qu'il casse du terros, c'est comme ça, il y peut rien. Du coup il décide d'expédier sa bagnole sur l'hélico qui le shoote. Donc John est au fond du tunnel, sa voiture prend des impacts de balles alors que l'angle d'inclinaison rend impossible la visée depuis l'hélico. A cela je ne vois qu'une explication plausible, à la pointe de la technologie, le terro moderne dispose d'uber équipements militaires derniers cris et d'une des dernières révolutions en date : la balle à tête chercheuse. Vive, élégante, rapide, elle est l'alliée idéale des groupuscules paramilitaires de demain.
-Farrell, le hacker en bois
Farrell et McClane sont à pied et au moment ou John utilise son portable, Farrell lui dit que les terros ont sûrement craqué le réseau et s'il s'en sert ils seront repérés. McClane jette son portable par terre et Farrell, surpris, lui demande pourquoi il a fait ça. Et bien c'est très simple petit scarabée du hacking pour les nuls, il existe une technique, appellée triangulation, qui permet de repérer un portable même si on ne s'en sert pas, alors tu retournes sur ton MO5 et tu laisses McClane prendre les choses en main, il sait quoi faire lui.
- Y a du réseau ou pas ?
Après avoir diffusé une vidéo de l'explosion du Capitole, les pirates coupent tous les réseaux de communication : plus de téléphone, satellites, etc. Alors qu'ils essaient de piquer une voiture, McClane et Farrell entrent en contact par radio avec le SAV de la bagnole qui non seulement est capable d'avoir une ligne de communication pour parler mais peut aussi faire démarrer la bagnole à distance ! Power of the car !!!
- The Déguise Men
"Bon, les gars, l'époque est à l'infiltration, au furtif, à la ruse, Metal Gear, Splinter Cell, tout ça quoi ! Comme on est des pros du cyber terrorisme 2.0, on va se déguiser en agents du FBI pour pénétrer la station électrique. Alors on a les habits, les fausses cartes d'identité, l'hélico... Bon je veux du professionnalisme, de la discrétion et de la délicatesse, ok...? OK CHEF !" Oui ben, manque de bol car à peine arrivée sur les lieux de l'assaut, voilà t'y pas que Maï (Maggie Q), la copine du chef des terros Thomas Gabriel (Benabar), dézingue comme une sauvage tout le monde ; pour la discrétion on repassera. Bon, faut pas lui en vouloir, c'est une fille de Hong Konk, et là -bas elles ont un double super pouvoir, celui d'être des méga-bombes et d'avoir le sang chaud. Hay Caramba !
- Baston et Kung fu
Les terros contrôlent la centrale électrique, mais nos héros sont là , et McClane se bastonne avec Maï. Bon, comme elle est über furax, elle le rétame à coup de techniques apprises au temple WuTang. McClane est à terre, un peu sonné, mais au lieu d'aller l'achever avec un méga-42 combo-fatality, Maï préfère lui tourner le dos et partir en marchant tranquille car ce rat insignifiant ne mérite que le mépris ! C'est sans compter, sur John, qui, profitant de cette opportunité de contre-attaque, lui saute dessus par derrière (comme un gros fourbe, il va s'en dire).
- Kung fu et baston
Alors là on a la même chose mais à l'envers : McClane bastonne Maï et la met KO (pas pour longtemps, hein, la technique de régénération d'HP c'est pas pour les chats siamois), et au lieu de l'achever en lui tordant le coup, celui-ci retourne voir Farrell pour discuter développement et Kernel32. Mauvaise idée ! Maï contre-attaque et expédie John au rez-de-chaussée !
- Le 4x4 de la mort
McClane est fumace, il prend un 4x4 et fonce comme un gros guedin vers la salle des ordis, sa compétence "clairvoyance" lui permet de savoir à l'avance que derrière la verrière opaque, qu'il va défoncer, il n'y que à Maï. Conséquence, elle se ramasse le 4x4 en full frontal, passe à travers les murs pour finir dans l'ascenceur. Heureusement, elle maîtrise l'ancestral art chinois dit de "la carapace indestructible du ragondin", et s'en sort avec trois fois rien.
- Une lumière dans la nuit
Maï se fait exploser par nos amis, ce qui ne rend pas content son pote Thomas Gabriel, et donc fait exploser la centrale. Nos amis en réchappent et prennent un hélico pour se rendre à Baltimore alors que New York est plongé dans le noir. Ils vont chez le "sorcier", mais comment faire pour trouver sa maison dans le noir ? Heureusement une semaine avant ces évènements, la société Mattel, qui commercialise en plus de ses jouets fabriqués en Chine, des lampes torches, a dû rappeller tous ses produits vendus pour un sombre problème de piles électriques cancérigènes. Cette pénurie profitant à nos héros, et le "sorcier" étant un gros parano qui a des stocks monstrueux de lampes torches et de groupes électrogènes, Farrell suggère que la seule maison qui sera éclairée sera celle du "sorcier", CQFD !!
- Paye ton IP 2
Farrell et McClane sont chez le "sorcier" (Kevin Smith, en Silent Bob bavard) et tout le monde cherche l'explication à ce hack terroriste. En farfouillant, ils se font repérer, et les terros captent l'IP du "sorcier", 10.252.27.112 . Vous connaissez la suite, Marina Del Rey...blabla...Californie...blabla...New York...
- Level up !
Les terros sont à Woodloan, le centre de sauvegarde de toutes les données financières des USA. Bowman, le Big Chef, demande pourquoi on ne l'a pas mis au courant de ce centre, et on lui répond qu'il n'avait pas le niveau hiérarchique. En bref, t'es un pur noob, retourne faire des quêtes pour gagner des XP. Hyper vexé, Bowman part faire du leveling pour atteindre le niveau 70 de la classe Big Chef (et pendant tout le fim on lui fait croire qu'il est chef de guilde. Ha ! Ha ! Pwned !).
- Je te tiens en joue ! Pas bouger !
Nos héros sont dans le centre pour embêter les terros, soudain, un terro arrive par derrière en mode furtif et au lieu de flinguer Farrell et McClane avec un double headshot, il tape la tchache : "Nous vous attendions messieurs !". Ouais ça en jette, on va vous faire prisonniers et vous torturer, faut pas déconner quoi, si je vous flingue de suite c'est la fin du film et ça, jamais ça n'arrivera !
Et en effet, le terro s'approche assez pour que McClane lui fasse une clé de bras de la mort aussi nommée "the arm key of the Steven Siegel Style".
- Farrell, l'élu
Farrell et McClane sont séparés, mais notre hacker va essayer de se débrouiller seul. Il arrive devant une porte blindée avec une commande électronique et devant un écran montrant le logo "National Data Administration", Farrell s'écrit : "Mon algorythme ! Tu es là mon chéri, je te cherchais partout !". Comment sait-il que son algorythme est dans le système ? Et bien c'est tout simple, tel Néo dans Matrix, Farrell a le pouvoir de voir au-delà des apparences. C'est une technique très courue chez les élus informaticiens, et il peut visualiser instantanément le code de la Matrice du centre Woodloan.
- La CB numérique
On quitte le centre de Woodloan et c'est la poursuite sur la route, le climax. McClane est au volant d'un poids-lourd et avec une CB appelle le "sorcier" sur sa fréquence perso (66,6 Mhz, mouhaaaa!! La fréquence du diaaaaaable !), et lui demande de lui créer une liaison avec l'agent Bowman du FBI. Et hop là , en deux temps trois mouvements, voilà que  le "sorcier" monte une interface faisant la bascule fréquentiel/numérique, et McClane peut tranquillou parler de sa CB vers le central du FBI (Ha ! On me dit que l'installe de Linux sur une CB ne demande que quelques secondes... autant pour moi !).
- Réactions en chaîne
McClane est poursuivi par un avion, ce dernier lui balance un missile, qui le rate, et percute un pilier de l'autoroute. Manque de bol pour notre héros, il s'agissait du pilier porteur principal, et la gravité fait le reste en provoquant l'écroulement façon domino de l'autoroute toute entière ! Les matériaux modernes, ça vaut rien du tout me dit un pote qui bosse dans le bâtiment .
- Deus Ex Machina badaboomesque
Le camion est à moitié détruit et McClane éjecté sur celui-ci, mais coup de bol phénoménal, un bloc béton (du BA13, me dit-on) tombe dans le réacteur de l'avion qui explose a proximité de McClane, activant à temps sa compétence "champ de force +10".
- Bon, où sont les méchants ?
C'est ce que vous auriez pu vous demander. En fait, tout ce fatra sur l'autoroute a permis à McClane de prendre un méga raccourci : alors qu'il s'extrait du chaos, il voit la camionnette des terros se garer dans un hangar à 200 mètres (bien sûr, ils n'ont pas du tout fait attention au pataquès de l'avion et ne se doutent pas de ce qui les attend !).
- C'est bientôt fini ?
Oui, ne vous inquiétez pas, mais je vous en mets un dernier pour la route : les terros campent comme des gros noobs sur Dust2 au lieu de surveiller les entrées, et ce qui devait arriver arriva, McClane entre et tue tout le monde sauf Thomas Gabriel qui tient sa fille en joue. Evidemment le méchant fait un monologue de méchant interminable au lieu de flinguer les gentils mais on a droit à une dernière intervention de John avec son désormais célèbre "Yipikayee motherfuBlamm" (PG13) , en version française ça donne "Youpikaye (????) pauvre con !", véridique !
Ouf ! Défi relevé avec brio je pense (mode modeste On). J'ai peut-être oublié certaines choses, donc cette analyse d'un intérêt complètement inutile (donc indispensable) est susceptible d'être complétée. J'attend impatiemment le prochain chef-d'oeuvre de Len Wiseman, mais cela risque d'être très dur de dépasser Die Hard 4 en terme d'enjeux scénaristiques.