Février 2008

Très sommaire

louverte.net

Samedi, 14h17 :
Moi - Ça m'emmerde d'écrire les éditos, je crois que celui-là sera le dernier.
Macfly - Ce serait dommage.
Moi - J'ai rien à dire, c'est dramatique.
Macfly - Donne le programme du mois !
Moi - Pas con. Comme les vraies revues tu veux dire ?
Macfly - Voilà.


Je sais, moquez-vous, mais jusqu'ici cette simple et lumineuse idée ne m'avait pas traversé l'esprit pour la simple et bonne raison que cela fait seulement trois semaines que nous sommes assez organisés pour savoir (un peu) à l'avance de quoi nous allons parler.
De cinéma, certes, nous allons parler de cinéma, c'est gentil de suivre. Mais, plus précisément, vous aurez la joie, que dis-je, la jouissance, de découvrir un article sur le diptyque de Johnny To, Election, par Nicolas Zugasti. Nous resterons en Asie pour parler de l'excellent Lust, Caution de Ang Lee. Seront également abordés Reviens-Moi de l'esthète Joe Wright, le come-back de l'année avec John Rambo, apparemment plus énervé que jamais (quelle bande-annonce !), en attendant une fin de mois copieuse avec les sorties des deux films s'annonçant comme les incontournables de février : There Will Be Blood de Paul Thomas Anderson et surtout La Ronde de Nuit de Peter Greenaway (dont l'édition française de The Tulse Luper Suitcase se fait toujours attendre, mais bon…).
Mérovingien prendra le risque de pondre un dossier sur le sujet chaud du moment : Tim Burton (je vois certains forums préparer la bagarre), tandis que Vendetta reviendra faire un tour du côté de La Maison Près du Cimetière de Lucio Fulci et qu'Isokilla vous proposera un plongeon dans le grand bain en explorant Le Monde de Nemo de Pixar. Enfin, Nicolas Zugasti tentera de décrypter les tenants et aboutissants de la grève des scénaristes hollywoodiens, l'occasion pour nous de présenter deux fictions inédites explorant les arcanes de la production télévisuelle US : le penchant réaliste avec The TV Set du fils Kasdan, et le délire loufoque à travers la série 30 Rock de la dynamique Tina Fey.

Et sûrement d'autres joyeusetés éparpillées ci et là, qui dépendront de l'inspiration des rédacteurs (pour moi c'est mal barré) et de leurs nuits blanches, sans oublier évidemment le 20 février la remise des prix les plus fondants du cinéma français : les Esquimaux Euhouards !




   

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